Races
Le monde d'Hydaelyn est très proche de celui de Final Fantasy XI, Vana'Diel. Ainsi, on y retrouve les cinq races qui ont fait son succès, avec cependant de nouveaux noms, de nouvelles histoires et une apparence légèrement différente.
Les Elezens : nobles et raffinés
Les Elezens sont un peuple traditionnellement nomade, qui dans le passé dominait sans partage sur Eorzéa. Croyant que cette proéminence était l'oeuvre des dieux, ils ont développé un sens de l'honneur et de la fierté très fort.
Naturellement grands et sveltes, leur physique est la conséquence d'une adaptation réussie à leur environnement. On dit d'ailleurs que leurs oreilles extrêmement sensibles leur permettent de discerner le couinement d'une souris à des kilomètres.
Les Elezens ont perçu l'immigration des Hyurs comme une véritable invasion, et les deux peuples partagent un passé sali par la guerre. Cependant, ils coexistent désormais en paix, à l'exception de la tribu des Elezens du Crépuscule.
Les Lalafells : plus intelligents qu'ils en ont l'air
Les Lalafells sont à l'origine un groupe d'agriculteurs vivant dans les îles fertiles des mers du sud. Avec l'introduction du commerce marin, ils ont très vite découvert les terres d'Eorzéa grâce aux routes commerciales. Ils sont aujourd'hui l'une des races les plus prospères et sont très bien implantés à travers la région, même si les climats froids ne les attirent pas.
La petite carrure rondelette des Lalafells cache une incroyable agilité, et leurs jambes à première vue faibles les portent, au contraire, sur de très longues distances, quel que soit le terrain. Nombre d'entre eux sont également connus pour avoir une intelligence très développée.
Les Lalafells accordent une très grande importance aux liens familiaux, mais ne sont pas pour autant hostiles aux étrangers. Ceci est d'autant plus vrai qu'ils continuent à partager des relations florissantes avec toutes les autres races d'Eorzéa.
Les Hyurs : la diversité par le nombre
Les Hyurs, plus grande population d'Eorzéa, sont arrivés de continents et d'îles voisins par trois grandes vagues migratoires. Ils ont amené avec eux une technologie sophistiquée et un génie complexe forgé par la grandeur du monde extérieur. Ils sont rapidement devenus un véritable moteur du progrès culturel, et peuvent largement être qualifiés de fer de lance de la civilisation Eorzéenne.
L'une des forces des Hyurs est l'époustouflante variété de langues et d'institutions sociales qu'ils possèdent. On dit que cela témoigne de l'importance qu'ils accordent aux libertés individuelles, même s'ils manquent ainsi de solidarité.
Deux groupes distincts se côtoient désormais au sein des Hyurs : les habitants des terres hautes, et ceux des terres basses.
Les Roegadyns : la taille, ça compte
Les Roegadyns sont un peuple marin largement concentré dans les mers du nord, par lesquelles ils sont arrivés en Eorzéa.
Ils possèdent une carrure énorme et musclée, et sont connus pour leur culture centrée sur la compétition et leur courage inébranlable. Malgré tout, certains d'entre eux restent tendres et renfermés.
Les Roegadyns vivant dans la région de Limsa Lominsa sont généralement des pêcheurs, mais beaucoup d'entre eux sont devenus mercenaires, gardes du corps, ou même pirates. Bien loin de la ville côtière, au plus profond des montagnes d'Ul'dah, vivent des clans solitaires de Roegadyns connus sous le nom de Gardiens de l'Enfer. On dit qu'ils sont des maîtres des arts magiques.
Les Miqo'tes : une tribu solitaire
Durant l'ère du Froid Infini, alors que les mers devenaient glace et ouvraient de nouvelles voies, Eorzéa a assisté à un afflux de faune étrangère sur ses côtes. En conséquence, des tribus de chasseurs sont apparues, et leurs descendants modernes sont aujourd'hui connus sous le nom de Miqo'te.
Depuis, deux groupes de Miqo'tes, différenciables physiquement, sont apparus : les Chasseuses du Soleil, qui vivent le jour, et les Gardiennes de la Lune, qui ne sortent que la nuit. Tous deux partagent un puissant sens olfactif et des jambes très musclées, résultat d'une longue évolution centrée sur la chasse et la prédation.
Moins nombreux que les autres peuples, elles ont conservé une mentalité de peuple insulaire, et préfèrent éviter d'entrer en contact avec les autres races. Même si certains habitent dans des villes très peuplées, leur mode de vie consiste toujours à rester isolé.